La Mer, Cap Vers D'autres Contrées tout ce qui touche à la mer sauf sujets sur FECAMP
#61
Posté 31 mai 2006, 21:03
je fais allusion au 2eme bâteau bleu
plein de souvenirs
je ne sais ou il a été vendu ?
plein de souvenirs
je ne sais ou il a été vendu ?
#64
Posté 03 juin 2006, 20:45
le Malouin
tu es vraiment l'ambassadeur de la Bretagne
sur notre Bout menteux
continue de nous faire rêver
tu es vraiment l'ambassadeur de la Bretagne
sur notre Bout menteux
continue de nous faire rêver

#67
Posté 08 juin 2006, 21:02
PAIMPOL, retour d'Islande, déchargement d'une goélette
"le retour, c'était comme un mariage renouvelé "de Jean Kerleveo.
A la fin de l'été, du haut des caps ou des dunes, des guetteurs, souvent des retraités observent
l'horizon et attendent le retour des premiers navires morutiers.

Document les femmes et la mer
"le retour, c'était comme un mariage renouvelé "de Jean Kerleveo.
A la fin de l'été, du haut des caps ou des dunes, des guetteurs, souvent des retraités observent
l'horizon et attendent le retour des premiers navires morutiers.

Document les femmes et la mer
#74
Posté 15 juin 2006, 18:13
une petite photo souvenir que je vient de retrouver 1976 ! ! !
Club Méditéranée a Saint-Malo
En 1976, Alain Colas demande à l'architecte Michel Bigoin, créateur de Pen Duick IV, de lui construire "un grand bateau". C'est un géant qui sortira des cales de l'Arsenal de Toulon : 72 mètres de long, 1000 mètres carrés de voilure, 4 mâts de 30 mètres de haut. Une batterie de 24 winches permet de contrôler le réglage des voiles. La timonerie est révolutionnaire pour l'époque : on y trouve sondeur, loch, radar, décodeur météo, VHF et BLU...Le bateau est équipé du système américain Sylosat composé d'un récepteur radio, d'un calculateur et d'un terminal de dialogue. Fonctionnant avec six satellites américains, Sylosat donne la position à 300 mètres près toutes les 18 minutes.

ALAIN COLAS
"Aujourd'hui, 3 février, un gars de Clamecy s'approche du Cap Horn".
Alain Colas vient de réaliser son rêve : accomplir le tour du monde en franchissant ce qu'il appelle "ce sombre éperon de grandeur et de misère".
Il est parti 5 mois plus tôt, du port de Saint-Malo, le 8 septembre 1973, pour une course en solitaire qui va le conduire sur les pas des anciens clippers, soit un tour du monde en deux étapes avec une escale à Sydney. Manureva sera le premier multicoque à avoir réalisé le tour du monde par les 3 caps, Bonne-Espérance, Leeuwin, Horn. Il battra aussi le record détenu jusqu'alors par le navigateur Sir Chichester.
"Le Cap Horn n'est pas un ennemi, ni même un adversaire au sens sportif du mot, mais un symbole... Des générations d'hommes ont lutté, souffert, voire péri en ces parages, et si nous sommes conscients d'être à côté d'eux des amateurs qu'aucun métier ne lie, nous somme heureux d'assurer la relève.
Le Cap Horn doit continuer à vivre, et si personne ne s'y rend plus à la dure, il rétrogradera à la dimension d'un point sur les manuels de géographie." Alain Colas
Club Méditéranée a Saint-Malo
En 1976, Alain Colas demande à l'architecte Michel Bigoin, créateur de Pen Duick IV, de lui construire "un grand bateau". C'est un géant qui sortira des cales de l'Arsenal de Toulon : 72 mètres de long, 1000 mètres carrés de voilure, 4 mâts de 30 mètres de haut. Une batterie de 24 winches permet de contrôler le réglage des voiles. La timonerie est révolutionnaire pour l'époque : on y trouve sondeur, loch, radar, décodeur météo, VHF et BLU...Le bateau est équipé du système américain Sylosat composé d'un récepteur radio, d'un calculateur et d'un terminal de dialogue. Fonctionnant avec six satellites américains, Sylosat donne la position à 300 mètres près toutes les 18 minutes.

ALAIN COLAS
"Aujourd'hui, 3 février, un gars de Clamecy s'approche du Cap Horn".
Alain Colas vient de réaliser son rêve : accomplir le tour du monde en franchissant ce qu'il appelle "ce sombre éperon de grandeur et de misère".
Il est parti 5 mois plus tôt, du port de Saint-Malo, le 8 septembre 1973, pour une course en solitaire qui va le conduire sur les pas des anciens clippers, soit un tour du monde en deux étapes avec une escale à Sydney. Manureva sera le premier multicoque à avoir réalisé le tour du monde par les 3 caps, Bonne-Espérance, Leeuwin, Horn. Il battra aussi le record détenu jusqu'alors par le navigateur Sir Chichester.
"Le Cap Horn n'est pas un ennemi, ni même un adversaire au sens sportif du mot, mais un symbole... Des générations d'hommes ont lutté, souffert, voire péri en ces parages, et si nous sommes conscients d'être à côté d'eux des amateurs qu'aucun métier ne lie, nous somme heureux d'assurer la relève.
Le Cap Horn doit continuer à vivre, et si personne ne s'y rend plus à la dure, il rétrogradera à la dimension d'un point sur les manuels de géographie." Alain Colas
#75
Posté 15 juin 2006, 21:18
Le patron et son mousse revenant de la pêche :

Bretagne de Mer et de Terre

Bretagne de Mer et de Terre
#76
Posté 17 juin 2006, 15:01
Malouins et Paimpolais partaient de mars à septembre faire leur métier dans des conditins d'extrème
dureté. Ils travaillaient de 15 à 20 heures par jour quand la pêche était abondante et par quart
quand elle donnait peu, toujours dans le froid, l'humidité et parfois la tempête. Ils vivaient dans un
manque total d'hygiène, dormant dans des " cabanes " , sortes de lit-clos qui servaient aussi
d'armoire et de garde-manger. (tiré de Bretagne de Mer et de Terre)
dureté. Ils travaillaient de 15 à 20 heures par jour quand la pêche était abondante et par quart
quand elle donnait peu, toujours dans le froid, l'humidité et parfois la tempête. Ils vivaient dans un
manque total d'hygiène, dormant dans des " cabanes " , sortes de lit-clos qui servaient aussi
d'armoire et de garde-manger. (tiré de Bretagne de Mer et de Terre)

#79
Posté 24 juin 2006, 08:20
La veille du départ avait lieu l'embarquement des coffres contenant quelques affaires de
rechange, une image de la Vierge, quelques petits outils qui permettaient aux marins d'occuper
le temps en cas de tempête prolongée, mais aussi les sabots-cuissardés, cirés et provisions
personnelles.
URL=http://imageshack.us]
[/URL]
tiré de Bretagne de mer et de terre
rechange, une image de la Vierge, quelques petits outils qui permettaient aux marins d'occuper
le temps en cas de tempête prolongée, mais aussi les sabots-cuissardés, cirés et provisions
personnelles.
URL=http://imageshack.us]

tiré de Bretagne de mer et de terre
#83
Posté 26 juin 2006, 17:00
[quote name='Fidji' date='26/06/2006 - 15:02' post='58677']
Une petite photo que j'ai trouvée pour LE MALOUIN
PORT DE ROSCOFF
Mignonne ta petite barque, Fidji , j'adore son nom
Merci,
Une autre de Douarn, où il y aura du 27 au 31 juillet un grand rassemblement de bateaux,
s'il y a des fécampois dans le coin, pour les vacances ?
Une petite photo que j'ai trouvée pour LE MALOUIN
PORT DE ROSCOFF
Mignonne ta petite barque, Fidji , j'adore son nom

Une autre de Douarn, où il y aura du 27 au 31 juillet un grand rassemblement de bateaux,
s'il y a des fécampois dans le coin, pour les vacances ?

#88
Posté 27 juin 2006, 22:45
fidgi qui à fait des construction en galets!!!
en attendant que la mer monte
c'est bizarre ces monticules de pierre???




en attendant que la mer monte

c'est bizarre ces monticules de pierre???
#90
Posté 28 juin 2006, 09:41
Oui MORPHEUS je fais mumuse avec les galets
par contre ça doit être plus difficile avec les galets à Fécamp car ils sont plus ronds

