[Fidji]

Voici une photo de la Rue André-Paul Leroux

[Charlotte]

Jules Schouteeten tient un magasin d'habillement : robes, manteaux, trousseaux, layettes, chemises , faux-cols, manchettes, cravates etc.....

Dans une publicité parue dans le journal de Fécamp en 1900, Jules indique que les chemises peuvent être confectionnées sur mesures à domicile et qu'afin de donner toute garantie aux clients, un modèle blanchi est livré à titre d'essai.

[Procyon]

Le Bail était le nom originel donné à cette rue, probablement car elle conduisait
à la tour de Babylone, où se serait trouvé le Ballium ou prison, dans les dépendances
de l'Abbaye. Le 9 Février 1890, le conseil municipal lui donne le nom de Casimir-Perier.

A moins que Bail ne vienne de Baille, signifiant porte avancée permettant d'entrer dans
la place, en l'occurence, l'enceinte fortifiée de l'Abbaye (une porte imposante se
trouvait dans cette rue, au niveau de la rue de la Grande-ecole)

[gehan]

ce serait bien ta 2 eme solution car il y avait une porte de Fecamp au niveau du marchand de mobylette et dans les année 50 ils y en avait une de faite en bois et qui y esr rester un moment pour commémorer je ne sais quel centenaire ce fût d ailleurs une des plus grande fête que j ai vu a Fecamp avec un grand nombre de chars ,des chevalier ,et toute une piétaille en armure bref....tout Fecamp défilait

mais c est loin car j etais bien jeune.....

[Ticamçot]

Fêtes du XIII° centenaire de l'abbaye, 5 et 6 juillet 1958



?

[r2d2]

pour compléter Dame Charlotte sur ce magasin





ne me cherchez pas je ne suis pas sur la photo

[gehan]

Ticamçot, le 13/05/2007 - 15:28, dit :

Fêtes du XIII° centenaire de l'abbaye, 5 et 6 juillet 1958
[/font]

[font="Times New Roman"]

?

merci "Ticamçot" très content de revoir ces photos... la date était parti de ma mémoire mais pas la fête
et on passait tous les jours sous cette porte en faisant "le Bail"

[Charlotte]

Rue Paul Casimir Périer 1900/1914



Au carrefour : café-épicerie.

[clark]

Quelqu'un pourrait il dater cette photo? Pour quelles raisons a t-elle été détruite? Ca avait son charme je trouve? Ca allait avec les remparts du château des ducs richard?

Merci.

[l'ramendeux]

mais cette porte la elle etait en carton d ' apres la ramendeuse c ' est en 1958

[l'trou au quin]

l, le 16 novembre 2009, 22:15 , dit :

mais cette porte la elle etait en carton d ' apres la ramendeuse c ' est en 1958

c etait surement pour le millenaire de l abbaye ....

[Morphéus]

y'a d'autres photos de cette porte
si tu remonte le topic tu trouvera peu-etre

[Procyon]

Pour en revenir à la "Porte", elle était empruntée par les personnages de marques. Notamment en Octobre 1750, M. de Beauvoir, lieutenant pour le gouvernement du Havre de Grâce, est reçu par des compagnies de bourgeois, rangées en haie depuis "le Baille jusqu'à la porte de l'abbaye".
Deux églises existaient dans cette rue,à l'emplacement de la maison au numéro 36 : les églises Saint-Thomas et Saint-Fromond, séparées par un étroit passage; ces 2 églises furent fermées le 28 Août 1792.

Jusqu'à la fin du XIV, la rue était pavée de galets, pavage qui fut remplacé en mai 1784 par un pavage en grés. L'ancien pavé est utilisé par les habitants pour aménager les trottoirs.



Parfois, la rue est fort animée, comme tout le centre ville. Ainsi, chaque année, le mardi de la trinité et le jeudi suivant, une foire coïncide avec le pèlerinage du Précieux sang.(photo ci dessus).

Avant la révolution, des marchands de noix s'installaient dans cette rue les jour de marché, ce qui fut interdit le 24 mars 1792 date à laquelle ils durent s'installer place du vieux marché.
Jusque dans les années 1840, la rue était régulièrement inondée par des eaux qui ne trouvaient pas d'issus, la rue de l'inondation n'existant pas (les maisons de la rue du Grenier à sel et celles du bail se rejoignaient).

Parmi les boutiques aux enseignes amusantes, il y avait autrefois en 1848, la confiserie Gagne-Petit, appartenant à M.Tuvache et dont la devise était "il faut le voir pour le croire". A la même époque, c'était "Aux Armes de Fécamp", appartenant à Mr Lemonnier, que l'on trouvait les dernières nouveautés. " A la Corbeille", les fiancés pouvaient composer leur trousseau.

Bien que son nom du rue du Bail ait disparu depuis 50 ans, son souvenir est toujours vivace chez la population qui désigne encore par le Bail, cet endroit de la ville

inspiré de "Histoire des rues de Fécamp/Banse"